Cet amendement me paraît d'importance stratégique. S'agissant des délais d'interdiction des produits phytosanitaires – trois ou cinq ans – et des périmètres de protection des lieux publics, nous voyons bien que les ministres restent la tête dans le guidon. L'amendement de ma collègue propose un rapport qui permettrait d'anticiper, donc de s'inscrire non plus dans le temps de l'urgence mais dans le court ou le moyen terme. Il mériterait d'être voté, je le dis sincèrement.