Je comprends les doutes et le scepticisme : c'est une mesure difficile à mettre en oeuvre – c'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle le sera par ordonnance, à l'issue d'une négociation avec les différentes parties prenantes. J'entends vos réticences mais à l'évidence, l'inaction nous empêchera d'atteindre nos objectifs de réduction de l'utilisation des produits phytosanitaires. Pendant l'élaboration des ordonnances, le ministère travaillera avec les organismes concernés ; aucune décision ne sera prise de manière abrupte. Nous aurons également l'occasion de faire valoir notre point de vue dans ce processus. Il faut selon moi accepter la séparation de la vente et du conseil.