La distribution de denrées alimentaires résultant de dons suppose la mobilisation de compétences, de ressources, de bénévoles et d'une logistique dont les CCAS et les établissements médico-sociaux ne disposent pas toujours à l'heure actuelle, car ce n'est pas tout simplement pas leur métier. Les associations caritatives, qui font du beau travail, depuis longtemps – les « Restos du coeur » ont plus de trente ans d'expérience – ont besoin que le don alimentaire s'accroisse. Je m'en remets à la sagesse de la commission.