Je crois, moi aussi, que c'est au citoyen d'être responsable et je ne suis pas favorable à ce que ce soit une obligation pour le restaurateur.
Je ferai une proposition inspirée de nos amis canadiens : ne parlons plus de doggy bag, mais d'« emporte restes » ! (Sourires.) C'est beaucoup moins animalier, beaucoup plus humain et beaucoup plus vertueux !