Je voulais faire remarquer que si on intègre la notion de « circuit court », qui implique un faible nombre d'intermédiaires, rien n'empêche qu'il y ait un intermédiaire à l'autre bout du monde. Or, dans cette salle, nous sommes tous convaincus qu'il faut faire travailler les producteurs locaux, nos agriculteurs.
Je voudrais également souligner que, parmi les agriculteurs, les producteurs et les élus locaux, des gens ont déjà commencé à travailler sur le bio et sur les circuits courts, parce qu'ils sont convaincus de leur bien-fondé. Et cela fonctionne.