J'entends bien, monsieur le député, mais vous complexifiez énormément le dispositif alors que la loi doit rester claire. C'est aux opérateurs de décider de concentrer leur effort sur tel ou tel aspect du repas en fonction de l'offre dont ils peuvent bénéficier sur leur territoire. Prenons les produits laitiers : les collectivités ont peut-être la capacité de se fournir en circuits courts, locaux ou sous SIQO bien plus facilement que de se fournir intégralement en bio, par exemple.