Je n'irai certes pas jusqu'à inscrire dans la loi les temps de cuisson des carottes (Sourires). Mais je suis sensible à l'argument de M. Turquois.
Ces amendements proposent une démarche volontaire. J'y suis plutôt favorable. Comme l'a dit tout à l'heure M. Prud'homme, cela encourage le travail de cuisiniers dits artisanaux plutôt qu'industriels.