Ce qui nous a permis de repérer qu'il y avait un problème, en 2005 comme 2017, c'est le fait que nous étions en présence d'un sérotype rare. Certaines des personnes chargées d'enquêter en 2017 se sont souvenues que la souche responsable en 2005 était l'Agona, ce qui nous a conduits à effectuer le rapprochement. Nous avons alors demandé au CNR de retrouver les souches de salmonelle de 2005 et de les sérotyper, ce qui a permis de déterminer qu'elles étaient très proches l'une de l'autre.