Pour ce qui est de la méthodologie, nous ne voudrions pas voir se répéter pour les puéricultrices ce qui s'est produit pour d'autres spécialités : que l'on mette la charrue avant les boeufs. Il est primordial et urgent de faire évoluer le champ de compétence en même temps que l'on modifie les modalités de formation. Or, nous ne sommes pas entendus : nous frappons toujours à la porte, mais aucun groupe de travail n'est installé au ministère pour s'atteler à cette réflexion. Le problème est réel.