– Bruno Sido et moi-même accueillons Cigéo à la lisière de nos départements respectifs. C'est une question d'intérêt national et aussi une opportunité pour le développement local. Nous ne sommes pas pressés, car il faut que les choses soient bien faites. Nous attendons bien parfois trente ou quarante ans certaines déviations de village, nous pouvons donc accepter un retard de quelques années pour Cigéo ! S'il faut attendre pour rendre le projet incontestable, nous attendrons.