Monsieur le député, la situation au Proche-Orient, vous l'avez dit, est explosive. La violence parle, la guerre pourrait menacer. Nous savions que le mois de mai serait dangereux : il l'est !
La France a exprimé nettement son désaccord avec deux décisions américaines, qu'il s'agisse de la sortie de l'accord nucléaire iranien, dit JCPOA – Joint Comprehensive Plan of Action – ou Accord de Vienne, ou de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël.
Nous avons, avec les États-Unis, des désaccords : un désaccord sur le fond, parce que l'accord nucléaire nous préserve en garantissant la non-prolifération, et donc notre sécurité.