La lutte contre les abstentions coupables que sont la non-assistance à personne en danger et la non-dénonciation de mauvais traitements nécessite une politique pénale vraiment volontariste. Sous réserve qu'il soit sous-amendé comme proposé, afin de mieux correspondre au code pénal, le Gouvernement est prêt à donner un avis favorable à cet amendement.