Une précision concernant la récidive : la loi du 17 juin 1998 a instauré le suivi socio-judiciaire, qui permet d'assurer le contrôle des personnes condamnées une fois que la peine privative de liberté est purgée. Il suffit peut-être d'utiliser ce dispositif mieux encore, par exemple en le faisant démarrer au début de l'incarcération. Ce serait plus efficace pour lutter contre la récidive que de donner aux chefs d'établissement la possibilité d'être au courant de cas particuliers.