Ma réponse tout à l'heure était peut-être trop courte : ayant déjà détaillé notre action dans ce domaine lors des questions au Gouvernement, je pensais qu'il n'était pas nécessaire de me répéter. Mais je vais y revenir, car le sujet est important.
En l'état actuel, la loi prévoit trois séances d'éducation à la vie affective et sexuelle pour chaque année scolaire. Dans les faits, ces trois séances n'ont souvent pas lieu, à cause du recul du précédent gouvernement sur la question des « ABCD de l'égalité », qui ont cristallisé des réactions souvent épidermiques des parents d'élèves.