Je partage votre préoccupation, madame De Temmerman, mais elle me paraît satisfaite par la rédaction de l'article L. 312-17-1 du code de l'éducation, qui rend obligatoire une formation des élèves sur le sujet.
S'agissant de la gestion des contenus à caractère sexuel sur internet, les dispositions du code de l'éducation et les initiatives prises par le ministère de l'éducation nationale en matière d'apprentissage des usages numériques et d'éducation à la sexualité rejoignent largement votre objectif. L'avis est donc défavorable.