Si je comprends bien les propos qui viennent d'être tenus, tous les feux sont au vert : allons-y, inscrivons dès à présent dans la loi ces dispositions protectrices des ACM ! Vous nous dites, monsieur le ministre, que nos craintes à cet égard ne sont pas justifiées, mais nous pourrions dès aujourd'hui, par précaution, faire ce pas.
Les associations d'éducation populaire qui oeuvrent dans ce domaine ont été soumises à beaucoup d'entraves ces dernières années. L'éducation populaire elle-même a été considérablement restreinte par la marchandisation du secteur. Il faut donc envoyer un signal fort en faveur des femmes et des hommes qui sont engagés dans ce domaine, qui font vivre l'éducation populaire.
Nous voterons pour cet amendement, car nous considérons que nous pourrions d'ores et déjà inscrire cette protection dans la loi.