Je voudrais prolonger ce qu'a dit Bertrand Sorre : on peut aussi songer à tous les effets pervers qui pourraient résulter d'une telle idée. Et peut-être n'ai-je pas été assez précis tout à l'heure, aussi tiens-je à redire très nettement que le chiffre de 400 millions d'euros avait été atteint sur la base d'une hypothèse vraiment minimale puisque étaient seulement envisagé le rachat de trimestres pour les bénévoles les plus réguliers, ceux s'engageant plus de cinquante heures par mois depuis plus de dix ans. Ce serait donc en réalité certainement beaucoup plus, et très rapidement, que 400 millions d'euros. De toute façon, le travail d'expertise demandé pour le rapport ayant déjà été fait, il ne me paraît pas indispensable de le refaire.