Samuel Valero, vice-président de l'Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF) :
Les étudiants ne sont pas opposés à une ouverture plus large du numerus clausus, dès lors que la qualité de la formation n'est pas touchée. Or actuellement, aucune faculté de médecine n'est en capacité d'accueillir davantage d'étudiants.