Je voudrais appuyer les propos de Samuel Valero, s'agissant du nombre de médecins : nous ne sommes pas défavorables à l'augmentation du numerus clausus, à condition d'augmenter aussi les capacités d'accueil des UFR. J'ai écouté l'audition de M. le doyen Sibilia, avec qui nous discutons par ailleurs, et je ne suis pas d'accord avec lui sur cette question.
Par ailleurs, le contact humain, avec le professeur et les patients, est essentiel en médecine. Et la simulation est un facteur indispensable et stratégique pour la formation de la médecine et des soins en France. Or la simulation se fait en présentiel et demande des crédits importants. Nous sommes donc inquiets quant au financement des plateaux de simulation dans les facultés.