L'accompagnement des internes, qui est une proposition intéressante, ne répond pas à l'urgence de la situation : que devons-nous faire, aujourd'hui, pour pallier l'insuffisance de l'offre de soins dans le territoire ? L'apport de médecins formés à l'étranger, plutôt francophones, plus ou moins exploités dans les CH et pas forcément reconnus par l'Ordre, est-il – à compétences équivalentes, naturellement – une solution répondant à l'urgence de la situation ?
Par ailleurs, l'âge moyen d'installation des jeunes médecins est de 37 ans environ. Comment expliquez-vous cela ?