Le plan relatif à l'accès territorial, présenté par M. le Premier ministre, évoque cette question du transport et de l'amélioration de l'accueil. Je conviens, cela dit, que la somme de 200 euros bruts qui est proposée est une somme symbolique.
Je vous repose la question : quelles mesures pouvons-nous mettre en place aujourd'hui pour répondre à l'urgence de la situation – sachant qu'il est hors de question, bien entendu, de prendre des mesures coercitives ? Que pensez-vous du conventionnement sélectif et du déconventionnement, en termes d'outils de régulation pour une occupation territoriale organisée ?