Madame Panot, on en revient à l'idée de garder les déchets auprès des centrales actuelles, ce qui permet d'identifier les lieux. Au passage, on oublie que d'ici à 10 000 ans, 50 000 ans ou 100 000 ans, la mémoire de ces centrales aura peut-être tout autant disparu que celle de Bure… Je comprends le choix devant lequel vous nous mettez. Pour ma part, j'ai tendance à penser qu'il est pire de disperser le problème que de le concentrer. La comparaison avec StocaMine a ses limites. Si l'on demande à Cigéo la réversibilité, il faudra s'en garantir.