Il est vrai qu'il était assez frappant de voir que lors de l'évocation des accords d'Alger, on ne parlait que des armes que personne ne voulait déposer. C'était marquant et frappant.
Par rapport au processus démocratique, après avoir rencontré un ministre, on nous a indiqué qu'une soixantaine de villes posent problème de sécurité pour l'organisation des élections. Pour le reste il paraissait confiant.