Nous avions compris, monsieur le secrétaire d'État, et il s'agit bien d'un changement complet de philosophie.
Aujourd'hui, il y a une vingtaine d'OIN, connues, répertoriées, cadrées ; demain, il y aura des dizaines et des dizaines de GOU. La plupart des intercommunalités vont en demander. Nous donnons des pouvoirs exorbitants aux présidents des EPCI, et les maires seront complètement dépossédés. On sait parfaitement que, dans certains cas, les présidents d'intercommunalités se passeront de l'accord du maire. C'est une autre philosophie, on change de monde. Il faut seulement le reconnaître et le dire.