Pour deux raisons. Il y a d'abord un travail technique important à effectuer, que nous avons amorcé avec les forces de sécurité, et notamment avec les pompiers. Nous suivrons naturellement ce qu'ils recommandent. Le drame absolu qu'a connu Londres avec l'incendie de la tour Grenfell concernait un immeuble de très grande hauteur, catégorie pour laquelle nous ne modifions pas la réglementation.
En revanche, il nous faut viser une harmonisation entre les immeubles de bureaux et ceux de moyennes hauteurs, compris entre 28 et 50 mètres, pour permettre le passage d'une catégorie à l'autre. Nous préparons l'avenir en ouvrant la possibilité de transformer des immeubles construits aujourd'hui et qui pourraient être vacants dans dix, quinze ou vingt ans.