Les récentes consultations électorales ont montré que la France était éclatée, émiettée. Les problématiques de logement que connaît l'Île-de-France se retrouvent aussi ailleurs. Les mêmes tendances à la ghettoïsation sont ainsi présentes en Seine-Maritime. Je voudrais bien disposer, pour la séance publique, d'une cartographie des hébergements d'urgence. On y verra que Saint-Étienne-du-Rouvray, Dieppe et Cléon sont plus souvent retenus que Mont-Saint-Aignan, près de Rouen, ou Bois-Guillaume. Par les choix qu'ils opèrent, les préfets ne font qu'accentuer la ghettoïsation.
Ces amendements me semblent donc de bon sens, y compris pour solliciter l'avis du maire.