Je suis d'avis de retirer l'amendement CE2485 qui est peut-être trop général en comparaison. Je voudrais souligner qu'il n'y avait pas de champs photovoltaïques quand la loi Littoral a été adoptée. Dans des secteurs où l'on essaie de protéger l'environnement, je ne vois pas en quoi l'installation de champs photovoltaïques à la place d'anciennes décharges ou d'anciens terrains militaires empêcherait d'atteindre l'objectif. Par ailleurs, la commission départementale de la nature, des paysages et des sites devra rendre un avis. En ce qui concerne les activités agricoles et ostréicoles, je pourrais multiplier les exemples de situations extrêmement difficiles dans des espaces côtiers ou insulaires. Des exploitations ont dû quitter Belle-Île-en-Mer, par exemple, parce qu'elles n'arrivaient pas à se mettre en conformité avec les nouvelles dispositions législatives relatives à l'environnement. Or la disparition de ces métiers traditionnels sur nos rivages est un vrai problème.