Je voudrais remercier le secrétaire d'État pour sa réponse : il ne s'est pas contenté de dire que l'acheteur fait ce qu'il veut. On parle quand même de céder un patrimoine financé ou subventionné par l'État pendant des années. Il faudrait trouver un dispositif d'accompagnement permettant d'éviter que l'on ne bascule ensuite dans une logique de spéculation : un tel comportement serait assez contestable sur le plan moral.