Ce qui nous frustre profondément dans ce projet de loi, c'est qu'on n'y parle pas des moyens.
Je vous crois profondément sincère, monsieur le secrétaire d'État, mais la vérité, c'est qu'à l'automne dernier Bercy vous a ponctionné de 1,7 milliard d'euros. Aujourd'hui, vous essayez de trouver des solutions, mais mener des politiques publiques sans argent n'est pas facile. Nous avons fait, pour notre part, des propositions.
Enfin, je me réjouis au passage de notre débat de tout à l'heure sur le fait que l'argent du logement doit rester au logement : c'est la moindre des choses.