Ne dites pas non, vous n'y étiez pas, j'y étais ; vous pourrez interroger le président Chassaigne. Personne, au sein de la Conférence des présidents, ne s'est opposé à cette mesure et M. Chassaigne a bien demandé un temps programmé de 50 heures pour la loi ÉLAN. Depuis, M. Jacob a demandé un temps programmé de 50 heures pour le texte qui est examiné aujourd'hui. Ce n'est pas le Gouvernement qui l'a imposé au Parlement. Quand on veut faire au Gouvernement le procès de déni de démocratie, comme vous le faites en permanence, il faut au moins vous appuyer sur des faits réels.