Cet amendement vise, effectivement, à supprimer un article qui semble ne pas avoir un grand avenir, si l'on en croit le rapporteur lui-même. Nous souhaitons tous laisser aux différents acteurs plus de temps pour réfléchir à un nouveau cadre de négociations.
La réflexion est toutefois ouverte et je tiens à remercier le rapporteur d'avoir accepté de porter le casque lourd de l'éclaireur dans ce débat très important sur la « moralisation des relations commerciales » – je reprends l'expression fort opportune qui a été employée par notre collègue Thierry Benoit avant la suspension de séance.