M. Charles de Courson veut casser ce cartel, et le Parlement français a le droit de dire à Bruxelles ce que pense la Nation française.
Monsieur le ministre, il faudrait que vous puissiez recevoir, comme vos homologues allemands, une feuille de route du Parlement pour mener des négociations comme celle-là avec la Commission européenne. Aujourd'hui, vous n'avez pas la feuille de route de la Nation, rédigée par le Parlement, dans ces négociations.
Je défends l'idée simple d'interdire à un groupe de représenter plus de 20 % du marché, car il s'agit alors d'un cartel. Cet amendement d'un député pas très intelligent est très simple : une centrale d'achat réalisant plus de 20 % du chiffre d'affaires ne peut plus s'étendre. C'est quelque chose de simple et d'efficace, comme le souhaite le peuple français.