Et si l'on veut utiliser des arguments économiques, on peut aussi mettre en avant le coût des 98 tonnes de barquettes jetées à la poubelle chaque année, celui des cancers et des autres effets sur la santé.
Les arguments sont toujours les mêmes et ils sont irrecevables. Alors, prenons nos responsabilités, au moins s'agissant des enfants les plus jeunes, qui sont les plus vulnérables – c'est ce que propose notre amendement – , et engageons le débat s'agissant des autres cantines. Fixer comme échéance 2025 ou 2028, franchement, c'est tout à fait inacceptable !