Le glissement vers les menus végétariens peut être considéré comme positif du point de vue de l'environnement et de la santé.
Ce débat donne l'impression que l'on substitue de petites questions sémantiques aux questions stratégiques sur l'avenir de la filière et sur le commerce international – par exemple, comment faire pour créer davantage de valeur avec moins de bétail ? Ou encore, comment faire pour que la filière résiste alors que l'on ouvre le marché avec le CETA, l'accord avec le MERCOSUR et l'accord avec le Mexique ?