Ne jouons pas sur ces peurs. Nous devons mener un travail considérable concernant l'abattage rituel, mais nous devons le faire dans la concertation. Il porte d'ailleurs ses fruits, car il est essentiel, mais aussi parce que les débouchés commerciaux qu'il représente sont importants pour nos filières d'élevage. Ces débouchés se font sur le territoire, pas ailleurs. Ce sont les marges de progrès et les points de compétitivité dont nous avons besoin pour valoriser les filières, produire une alimentation de meilleure qualité, qui permettront aux filières d'investir durablement. Ce n'est pas en jouant sur les peurs des consommateurs que vous parviendrez à vos fins.