Je félicite, par avance, les députés qui voteront ces amendements. Le réchauffement climatique n'a pas de frontières : nous devons donc tenir compte des pays qui fabriquent les matières premières.
À ce propos, je voudrais revenir sur l'amendement précédent, que nous avons rejeté. Certes, il est bien beau de promouvoir les produits des terroirs, mais nous ne nous sommes pas interrogés sur les produits qui composent ce que l'on appelle un pain au chocolat – dont le cacao, qui vient notamment d'Afrique.
Je pense donc que c'est une bonne chose de prendre en compte la déforestation dans ces pays. Il vaut mieux aller dans ce sens que nourrir la polémique quant au nom des produits.