Ce n'est pas vrai, monsieur le député : nous acceptons les amendements de l'opposition quand ils vont dans le bon sens. Nous essayons de mener un travail de co-construction, de façon collégiale.
Les filières peuvent déjà se saisir de ces mentions valorisantes. Dès lors, pourquoi changer la loi ? Le consommateur risque de se perdre dans le maquis des mentions, et le résultat serait contraire à l'effet recherché. Méfions-nous de la multiplication des mentions qui se veulent valorisantes : on finit par nuire à celles auxquelles on tient particulièrement.
Encore une fois, les filières peuvent décider d'utiliser les mentions, mais il n'est pas utile de les inscrire dans la loi.