Cet amendement porte sur la préférence communale, toujours sous le prisme des QPV. Dans ces villes, nous avons besoin de stabiliser les populations et de faire en sorte que quelqu'un y travaille, s'y est stabilisé, y a grandi, puisse y rester. Le drame de ces quartiers est que sitôt que quelqu'un a réussi, il s'en va, et est remplacé par quelqu'un qui est plus en difficulté.
Nous proposons de prévoir une préférence locale, pour que lorsque quelqu'un veut rester dans sa ville, on puisse faire en sorte de le garder, à qualité de dossier égal. Le départ de ceux qui réussissent est toujours vécu comme un drame, et cause des difficultés puisque ceux qui les remplacent sont toujours plus en difficulté.