Il y a peut-être une solution dans le cadre des contrats locaux de sécurité (CLS). Il existe des structures très restreintes au sein desquelles se pratique le « secret partagé » – il n'y a pas toujours de documents papiers, on se dit les choses et les noms, l'information passe à l'oral, et, ensuite, chacun fait ce qu'il a à faire.
On ne va pas faire de fichiers, mais, sur dans ce genre de situations, on est bien obligé de se parler et de mettre des noms.