Il s'agit d'un problème récurrent que personne ne réussit à traiter et qui indispose au plus haut point les habitants – imaginez dix, quinze ou vingt personnes tous les soirs dans les cages d'escalier. Doit-on aller jusqu'à interdire les regroupements dans les parties communes des immeubles ? C'est la seule solution juridique. Les dispositions existantes ne marchent pas et c'est insupportable. À plusieurs reprises des annonces publiques ont été faites pour dire que le problème allait être réglé, et nous avons même voté une loi, mais, dans les faits, l'occupation continue – c'est pareil pour les rodéos à moto. Je sais que le sujet est très compliqué et exige beaucoup d'humilité. À une époque, j'avais proposé un amendement pour interdire les regroupements dans les parties communes.