En fait, votre sous-amendement, madame la rapporteure, supprime complètement le quatrième alinéa et donc l'obligation, pour les centres, d'avoir un service numérique permettant de sauvegarder les données personnelles.
L'enjeu est réel. Les personnes concernées ont besoin d'être accompagnées, d'autant que toutes les démarches sont dématérialisées – et elles devront évidemment pouvoir accéder à internet. Il faut trouver une solution. Peut-être la rédaction de cet alinéa de l'amendement ne convenait-elle pas, mais qu'en est-il du fond, madame la rapporteure ?