Une telle prise en charge ne me paraît pas devoir figurer dans la loi. Comme vous l'avez souligné, de multiples raisons expliquent l'attachement des sans-abri à un animal de compagnie. Nous avons eu l'occasion d'en discuter avec les travailleurs sociaux.
Ce qui importe, c'est d'accompagner les structures d'hébergement pour leur permettre d'ouvrir de plus en plus de places d'accueil pour les animaux de compagnie et leurs maîtres. Et c'est ce que nous faisons. Nous pourrions trouver une autre façon d'intégrer cet aspect de la vie quotidienne des sans-abri, peut-être en précisant que la personne doit être accueillie en prenant en compte toutes ses spécificités.