Un Formule 1 en QPV a fait l'objet d'une opération ADOMA. La Caisse des dépôts, qui a quand même bien fait les choses, a consulté les maires concernés et la plupart de ceux qui comptaient des QPV dans leur commune ont répondu : « même pas en rêve » mais ils ont tout de même accepté dans un climat de bonne entente et de dialogue.
Demain, d'autres structures vont peut-être se lancer dans de telles opérations et les préfets seront susceptibles de réquisitionner. C'est la raison pour laquelle j'aimerais déposer un amendement en séance pour maintenir l'autorisation pour les RHVS qui se situent dans les QPV. Ces transformations ne doivent pas se faire aux dépens des communes, qui n'ont pas à perdre de l'argent. Comme cela ne concerne que quelques établissements, nous devrions trouver un accord.