M. Peu a eu raison de rappeler que le logement social concerne 75 % de nos concitoyens, et qu'il nous appartient de faire le choix qu'il en reste ainsi.
Je ne suis pas favorable à la multiplication de plafonds et planchers – sur ce point, la loi SRU a montré que lorsque les quotas sont posés, il est souvent très difficile de les modifier pour s'adapter à l'évolution des situations – et j'estime que la mise en oeuvre de votre proposition serait très compliquée et obligerait le législateur à réintervenir régulièrement afin d'effectuer des mises au point.