Vous êtes donc peut-être « Macron-compatible »… (Sourires.) La question que j'ai soulevée auprès du président d'Auchan était simple, c'est la possibilité de revenir au classement en médicament. Pour les médicaments, on n'est pas confrontés à ces problèmes-là, l'affaire du talc Morhange est bien plus ancienne. La commission est donc en droit de se poser cette question. Le lait premier âge dont nous discutons ne se vend pas sur prescription, mais il est arrivé à des médecins de le conseiller.