Il s'agit non pas d'écarter les représentants professionnels des conseils d'administration, mais d'en confier la présidence à un fonctionnaire, car celui-ci sera sans doute plus à même de mener, dans son établissement, les politiques publiques décidées par l'État. Cette disposition serait aussi un moyen de nous prémunir contre d'éventuels conflits d'intérêts.