Certes, c'est arrivé dans le Cantal tout récemment, je ne l'ignore pas, mais, de façon générale, c'est traité avant par ces cellules de crise qui réunissent, auprès de la DDPP, l'ensemble des vétérinaires et des professionnels du département, chargés de repérer ces cas et de les traiter avant d'en arriver à la procédure judiciaire.
L'avis est donc défavorable.