Ce point est très important, chers collègues. Ce n'est pas un à-côté : écoutez les juges antiterroristes, les magistrats, le syndicat de la magistrature.
Une autre des questions soulevées par l'état d'urgence est l'aide à d'autres victimes : celles de ses dommages collatéraux. Comme vous le savez en effet, on ne trouve pas un terroriste derrière chaque porte qu'on fracture. Parfois, d'abord, on se trompe de porte.