C'est le même, mais je voudrais rappeler que les cas de maltraitance animale sont minoritaires au sein des abattoirs, il ne faut pas laisser penser le contraire. Je confirme que les postes de salariés d'abattoir, particulièrement celui de tueur au piège, sont très difficiles. En plus, il n'y a pas d'école préparant à ces postes vraiment compliqués, et c'est aujourd'hui un des seuls métiers dans ce cas – peut-être une lacune à combler. En tout cas, c'est bien d'avoir pris toutes les précautions dans la rédaction de cet article additionnel. L'avis n'a pas changé : faisons l'expérimentation ; on verra après en fonction des résultats.