Loin de moi également, madame Batho, l'idée de traiter par-dessus la jambe, si vous me permettez cette expression triviale, les amendements que vous avez déposés. Je sais qu'ils sont issus d'un travail long et patient que vous menez depuis des années. J'ai beaucoup de respect pour le travail que vous faites ici. Nous nous connaissons depuis longtemps et vous savez aussi quel est mon état d'esprit. Parce qu'il faut toujours reconnaître le travail des gens, je tiens à le faire dans cet hémicycle. Je veux également faire remarquer que, malgré le peu de temps dont vous disposiez du fait du temps législatif programmé, vous siégez parmi nous depuis le début des débats, sans discontinuer.